Liz McComb avait été sollicitée par le Festival Voiceland & Amnesty International pour être la vedette d’un chœur de Gospel qui allait pour une première fois rencontrer pacifiquement les Chœurs de l’Armée Rouge sur la scène du Palais des Congrès, le 26 mai 1992. Qui pouvait alors penser que 33 ans plus tard elle reviendrait y chanter, son Christmas Concert dans un contexte de guerre avec la Russie ?
A l’époque, Gérard Vacher, créateur du Dépôt Vente et producteur débutant, libertaire et libertin, se décida à relever le défi de permettre à Liz McComb de produire une œuvre qui s’annonçait exceptionnelle dès son premier album « Acoustic Woman » … Double malentendu, Gérard Vacher convaincu que le succès aidant, Liz mettrait de côté ses convictions religieuses et son prosélytisme pour reprendre les traces de ses devancières dans la Soul Music, mauvais calcul, car Liz, aussi intègre que Mahalia Jackson, refusa le rôle de « chanteuse de variété ». C’est le producteur qui capitula, devenant ainsi volens nolens « l’idiot utile de Dieu » en permettant à Liz McComb de sillonner le monde en remplissant de bonheur les spectateurs des théâtres et des festivals en leur offrant son gospel authentique, musique merveilleuse inventée par les pauvres déracinés des ghettos américains, et qui est l’une des plus riches … c’est sans doute pour cela qu’elle a si souvent été copiée, voire pillée.
Seule artiste américaine invitée par l’Autorité Palestinienne pour la célébration du dernier Noël du millénaire, pendant la courte période de paix respectée dans cette région, elle a composé Peacemakers, chanson qui fédère « ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas », car comme l’avait déjà si bien résumé Benjamin Franklin en 1783 « il n’y a jamais eu de bonne guerre, ni de mauvaise paix »
Il s’en suivi une œuvre originale et féconde, des participations à de nombreux films et pas moins de 12 albums, dont le dernier paru juste avant le Covid, son « Christmas Concert » présenté sur scène en décembre 2018 à l’église St Sulpice et qui reçut 4 étoiles de la part du magazine de référence Down Beat.
Enfant prodige dès 3 ans, Liz McComb a partagé la scène et l’affiche à l’international en compagnie des stars du Gospel comme la grande Bessie Griffin (rivale de Mahalia Jackson) ou celles de la Soul et du Rhythm & Blues comme Ray Charles, James Brown, BB King ou John Lee Hooker. Lien vivant entre les nouvelles générations, Liz a vu éclore Funk puis Rap, musiques qui ont défendu les droits civiques de la communauté noire, elle avait 11 ans lors de la Marche sur Washington et 16 ans quand Martin Luther King fut assassiné.
Véritable phénomène scénique et vocal, Liz McComb nous fait parcourir tous les états de la condition humaine : bouleversante et parfois douloureuse, exaltée mais sereine, ardente mais sensuelle, suave et toujours primesautière, Liz est avant tout émouvante et généreuse par sa voix, son jeu de piano et son engagement physique absolu. On ne ressort jamais indemne de ses concerts !
Ce retour au Palais des Congrès le 13 Décembre 2025 non seulement réunira ses merveilleux musiciens américains, mais permettra comme elle sait le faire, la participation du public. Les réservations sont ouvertes. Pour l’occasion, des Masterclass sont proposées au Palais des Congrès ou peuvent être organisées sur demande
Suite au décès de sa mère Pasteur, Liz McComb a dû prendre en charge son église de Cleveland (Ohio), pour ne se déplacer en Europe que lors d’occasions spéciales comme les obsèques de Frédéric Mitterrand ou bien la récente célébration du 80ème anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz. Liz McComb vient d’être choisie pour chanter les fabuleux titres du spectacle immersif Quentin Tarantino Symphonic Celebration qui aura lieu le 6 décembre 2025 avec un orchestre symphonique et celui des Pompiers de Paris. La Ministre de la Culture, Rachida Dati, profitera de son séjour à Paris pour lui remettre la médaille de Commandeur des Arts et Lettres.
A l’époque, Gérard Vacher, créateur du Dépôt Vente et producteur débutant, libertaire et libertin, se décida à relever le défi de permettre à Liz McComb de produire une œuvre qui s’annonçait exceptionnelle dès son premier album « Acoustic Woman » … Double malentendu, Gérard Vacher convaincu que le succès aidant, Liz mettrait de côté ses convictions religieuses et son prosélytisme pour reprendre les traces de ses devancières dans la Soul Music, mauvais calcul, car Liz, aussi intègre que Mahalia Jackson, refusa le rôle de « chanteuse de variété ». C’est le producteur qui capitula, devenant ainsi volens nolens « l’idiot utile de Dieu » en permettant à Liz McComb de sillonner le monde en remplissant de bonheur les spectateurs des théâtres et des festivals en leur offrant son gospel authentique, musique merveilleuse inventée par les pauvres déracinés des ghettos américains, et qui est l’une des plus riches … c’est sans doute pour cela qu’elle a si souvent été copiée, voire pillée.
Seule artiste américaine invitée par l’Autorité Palestinienne pour la célébration du dernier Noël du millénaire, pendant la courte période de paix respectée dans cette région, elle a composé Peacemakers, chanson qui fédère « ceux qui croient au ciel et ceux qui n’y croient pas », car comme l’avait déjà si bien résumé Benjamin Franklin en 1783 « il n’y a jamais eu de bonne guerre, ni de mauvaise paix »
Il s’en suivi une œuvre originale et féconde, des participations à de nombreux films et pas moins de 12 albums, dont le dernier paru juste avant le Covid, son « Christmas Concert » présenté sur scène en décembre 2018 à l’église St Sulpice et qui reçut 4 étoiles de la part du magazine de référence Down Beat.
Enfant prodige dès 3 ans, Liz McComb a partagé la scène et l’affiche à l’international en compagnie des stars du Gospel comme la grande Bessie Griffin (rivale de Mahalia Jackson) ou celles de la Soul et du Rhythm & Blues comme Ray Charles, James Brown, BB King ou John Lee Hooker. Lien vivant entre les nouvelles générations, Liz a vu éclore Funk puis Rap, musiques qui ont défendu les droits civiques de la communauté noire, elle avait 11 ans lors de la Marche sur Washington et 16 ans quand Martin Luther King fut assassiné.
Véritable phénomène scénique et vocal, Liz McComb nous fait parcourir tous les états de la condition humaine : bouleversante et parfois douloureuse, exaltée mais sereine, ardente mais sensuelle, suave et toujours primesautière, Liz est avant tout émouvante et généreuse par sa voix, son jeu de piano et son engagement physique absolu. On ne ressort jamais indemne de ses concerts !
Ce retour au Palais des Congrès le 13 Décembre 2025 non seulement réunira ses merveilleux musiciens américains, mais permettra comme elle sait le faire, la participation du public. Les réservations sont ouvertes. Pour l’occasion, des Masterclass sont proposées au Palais des Congrès ou peuvent être organisées sur demande
Suite au décès de sa mère Pasteur, Liz McComb a dû prendre en charge son église de Cleveland (Ohio), pour ne se déplacer en Europe que lors d’occasions spéciales comme les obsèques de Frédéric Mitterrand ou bien la récente célébration du 80ème anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz. Liz McComb vient d’être choisie pour chanter les fabuleux titres du spectacle immersif Quentin Tarantino Symphonic Celebration qui aura lieu le 6 décembre 2025 avec un orchestre symphonique et celui des Pompiers de Paris. La Ministre de la Culture, Rachida Dati, profitera de son séjour à Paris pour lui remettre la médaille de Commandeur des Arts et Lettres.
Les Invalides
Spiritual symphonic suite
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VIDEO Medley
Casino de Paris
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Corbeil Jazz Festival
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Wonderful World by
Yann Arthus Bertrand
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Liz McComb
Soul Say Yes/Rebels
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